Vous postez régulièrement des contenus de qualité sur votre blog ? Vous faites de votre mieux pour rédiger des articles à forte valeur ajoutée pour vos lecteurs ? Cela dit, vous avez encore du mal à gagner de la visibilité ? Si cela vous arrive, alors soyez rassurés. Vous êtes sur la bonne voie. Il faudrait juste insister sur le côté référencement. Vous devrez notamment vous mettre au SEO copywriting.
Qu’est-ce que le SEO copywriting ?
Bien connu par les personnels du service de rédaction web, le SEO copywriting consiste à écrire de manière pertinente pour Google. En effet, pour espérer apparaître sur les résultats proposés par ce moteur de recherche, il faudra arriver à le convaincre. Pour cela, plusieurs règles SEO doivent être respectées. L’équipe de Larry Page propose une liste de recommandations reparties sur une centaine de points. En claire, il faut proposer des contenus uniques et pertinents. Pour beaucoup, le référencement Google est avant tout synonyme de contenus avec des mots clés. Cela dit, les articles ne s’adressent pas au moteur de recherche, mais aux internautes. Pouvoir écrire pour les humains en tenant compte des recommandations du puissant moteur de recherche. Ce jonglage définit au mieux l’art du référencement SEO copywriting.
Ne pas se concentrer sur les mots clés
Concrètement, il faut commencer par choisir des mots clés avec pertinence. Le rédacteur doit se mettre à la place de l’internaute. Au lieu de proposer des contenus centrés sur les keywords, il vaut mieux écrire de manière naturelle. De nombreux spécialistes préconisent même d’oublier les moteurs de recherche au moment de rédiger les articles. Dans tous les cas, il faut des textes riches en informations et également en émotions. Cela dit, les mots clés ne sont pas totalement à oublier. Les spécialistes de l’optimisation pour les moteurs de recherche proposent d’en choisir un ou deux et de les placer aux bons endroits sur l’article. Il faudrait notamment les placer dans les titres, les sous-titres et éventuellement dans les légendes. Pour le corps du texte lui-même, la récurrence tolérable serait de 3%. Cela signifie que pour un article d’une longueur de 1000 mots, il faut 30 mots clés répartis du titre au point final.